dimanche 3 décembre 2017

Le viking qui voulait épouser la fille de soie

Résumé : 

Sur une île du sud de la Suède au Xe siècle, un homme vit seul à la ferme avec ses deux fils. Le chemin de ceux-ci est tout tracé : naviguer au loin, pour guerroyer au-delà des mers à l'Ouest, ou pour faire commerce sur les voies fluviales de l'Est. De l'autre côté de la Baltique, à Kiev, vivent un marchand de soie et sa famille. Radoslav rêve de devenir soldat, sa sœur Milka est une jeune fille raffinée qui joue avec ses deux esclaves : Petite Marmite et Poisson d'Or. Mais la belle ville d'Orient est sur le point de tomber aux mains des pillards. Milka et Radoslav trouveront refuge auprès de rustres navigateurs venus du Nord. Dès lors le destin des deux familles sera à jamais mêlé.

Mon avis : 

Katarina Mazetti est plutôt connu pour ses romans drôles et légers comme Le mec de la tombe d'à côté ou Les larmes de Tarzan mais j'étais curieuse de la découvrir dans un roman historique. Les critiques que j'avais pu lire étaient soit très bonnes soit très mauvaises et je voulais me faire mon propre avis. Ayant terminé ma lecture, je peux vous dire que je suis mitigée.

L'auteur nous entraîne au Xe siècle et l'on apprend énormément sur les vikings qui peuplaient la scandinave. On découvre une autre civilisation, avec des coutumes a part, une religion différente faite de plusieurs divinités, bref c'est un régal sur ce point de vue. 
"- Pourquoi vos dieux doivent ils forcément être tous les mêmes ? Ai je dit. Chez nous, nous avons beaucoup de dieux qui nous aident de différentes manières dans la vie ! Personne ne s'en tient à un dieu en particulier, ni à tous, mais nous ne nous battons pas pour savoir lequel est le meilleur!"

Par contre, j'ai moins aimé les personnages et l'intrigue autour d'eux. Je n'ai pas réussi à m'attacher a aucun d'entre eux et a vraiment rentré dans le récit. 


Malgré tout je suis contente de cette lecture qui m'a fait découvrir un peuple et un peu de l'histoire Scandinave.

Lu dans le cadre du challenge :
- Le temps à l'envers (2017/1900) 

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